André du Bus

Député bruxellois et à la Fédération Wallonie Bruxelles

 
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  • Situation à la Haute école Lucia de Brouckère

    Discussion avec Madame Fadila Laanan, Ministre en charge de l’enseignement

    […]

    Madame la Ministre, mon intervention portera uniquement sur le rapport remis par le service externe de prévention et de protection Arista, évoqué il y a un instant par M. Christos Doulkeridis. Ce rapport s’inscrit dans une législation fédérale très précise, en l’occurrence celle relative au bien-être au travail, qui touche en particulier aux stratégies de lutte contre le stress au travail et de prévention de ce phénomène.

    Dans ce contexte, Arista a pour mission de faire le point sur l’organisation du travail, les conditions dans lesquelles il s’exerce, ses caractéristiques, en ce compris son rythme et sa quantité, ainsi que les relations au travail. Ce dernier aspect vise les relations entre collègues, avec la hiérarchie et, le cas échéant, avec les clients, même si, en l’occurrence, il s’agit plutôt d’élèves. Tel est donc le contexte strict dans lequel Arista doit remettre son rapport.

    Dans le contexte hypermédiatisé que nous connaissons, il faut évidemment utiliser intelligemment un rapport de cette nature, qui contient l’historique et le contentieux. L’application de cette législation, depuis une quinzaine d’années, nous a appris que les recommandations fournies au terme d’une analyse des risques psychosociaux doivent alimenter un plan pluriannuel de gestion du stress au travail.

    La réussite de ce plan passe par deux conditions essentielles. La première est qu’il doit bénéficier de l’adhésion de toutes les parties. Aujourd’hui, je ne sais pas si toutes les parties concernées adhèrent aux recommandations d’Arista. La deuxième est que la direction doit s’engager à porter ce plan. Quand on parle de direction, il faut entendre non seulement la direction proprement dite, mais aussi la hiérarchie et, le cas échéant, le pouvoir politique dont elle dépend et auquel elle se réfère. Pour avancer, il est donc très important que l’autorité politique s’appuie sur ce plan. C’est là tout l’intérêt de disposer d’un plan de cette nature, qui repose sur un avis objectif donné par des professionnels de l’analyse des risques psychosociaux au travail.

    Mme la ministre, adhérez-vous aux recommandations du rapport d’Arista ? Soutenez-vous sa mise en œuvre ?

    Par ailleurs, on sait que l’état des bâtiments ne favorise pas un apprentissage dans les meilleures conditions. Le bâtiment 7, qui abrite l’Institut Jules Ferry, posait problème. Vous-même avez annoncé en mars dernier de petits travaux d’aménagement, ainsi que des travaux de plus grande ampleur. Qu’en est-il de ces derniers ?

    On sait également que la haute école ne parvient pas à respecter le décret relatif à l’encadrement des stages et des travaux de fin d’études (TFE). Le collège de direction s’était engagé à améliorer cet encadrement. Qu’en est-il concrètement ? Observe-t-on aujourd’hui des signes manifestes d’amélioration de l’encadrement des stages et des TFE ?

    (Applaudissements)

    Mme la présidente.- La parole est à Mme Laanan.

    Mme Fadila Laanan, ministre-présidente.- Tout d’abord, permettez-moi de rappeler à M. Doulkeridis que j’hérite d’une situation de non-gestion de l’établissement pendant de nombreuses années. Vous n’êtes pas sans savoir que les dysfonctionnements se sont accumulés sur tous les plans, puisque vous étiez vous-même en charge de ce dossier sous la législature précédente.

    Pour répondre à vos questions, un plan d’action a effectivement été présenté au conseil d’administration de la Haute école Lucia de Brouckère. À la suite de cette présentation, le conseil d’administration a mandaté le collège de direction pour solliciter l’avis des conseils. Le processus est en cours. Dès qu’il sera terminé, le plan sera présenté en commission paritaire locale (Copaloc) avant de diffuser l’information vers le personnel.

    Quant au protocole d’accord auquel il a été fait référence, M. Doulkeridis sait bien que celui-ci ne faisait pas l’unanimité auprès des organisations syndicales. On ne peut donc le considérer comme la bible.

    Cela étant, la plupart des demandes étant fondées, le collège de direction ainsi que mes services ont avancé sur de nombreux dossiers. Je citerai notamment le calcul des anciennetés de service, la révision complète des attributions sur la base d’une procédure objective et harmonisée, le regroupement des dossiers administratifs et l’optimisation du fonctionnement des secrétariats.

    S’agissant du conseil d’administration, il n’est effectivement pas tout à fait complet, puisque les représentants du personnel ne sont que six et qu’il ne compte qu’un représentant du monde économique. Parmi les représentants du pouvoir organisateur au conseil d’administration figurent deux chercheurs. Ils sont membres du pouvoir organisateur et ne sont pas considérés comme membres du personnel de la haute école. Cette situation a donné lieu à de virulents débats.

    Toutefois, dans le but de rétablir un climat social plus serein, le pouvoir organisateur a proposé qu’un représentant pour chaque interprofessionnelle soit désigné immédiatement au titre d’observateur au conseil d’administration, et ce, jusqu’aux prochaines élections. Cette formule présentait l’avantage de rétablir un strict équilibre entre les catégories de membres du personnel représentés et de progresser sur l’organisation des élections. Mais force est de constater que cette proposition n’a pas recueilli l’adhésion.

    Une nouvelle proposition devait être formulée lors de la réunion de la Copaloc du mois de juin, mais le quorum n’ayant pas été atteint, une nouvelle Copaloc a été fixée après les congés d’été. Pour votre parfaite information, il est prévu qu’une Copaloc et un conseil d’administration se tiennent avant la rentrée académique de septembre. Pour répondre aux critiques formulées à l’égard des Copaloc, qui seraient annulées ou n’épuiseraient pas l’ordre du jour, je précise qu’elles durent des heures.

    Les différents changements de présidence visaient à rétablir un climat serein. J’avoue avoir épuisé toutes mes ressources de présidente potentielle. Si chacun ne met pas un peu d’eau dans son vin, la situation deviendra inextricable et je le regrette.

    C’est triste et inquiétant. Nous avons tous intérêt à fédérer nos énergies afin que la situation s’améliore au bénéfice de l’ensemble des étudiants, du personnel administratif et technique, des enseignants et de la direction. Or, je m’interroge parfois sur la volonté réelle et sincère de chacun de construire un projet dans lequel tout le monde puisse retrouver un espace d’épanouissement.

    On a évoqué le rapport Arista, qui a mis en évidence un certain nombre de difficultés. Un plan d’action a d’ailleurs été élaboré sur la base des propositions émises, à ma demande, par les membres du conseil d’administration. Après deux séances consacrées à cette fin, ceux-ci ont préféré que soit dévolue au pouvoir organisateur la tâche de proposer un plan d’action répondant point par point aux problématiques soulevées. Cet exercice a été réalisé par le membre du personnel que j’ai affecté à temps plein au sein de la haute école.

    Parmi les mesures que nous avons décidé de mettre en place, citons :

    • le renforcement de la gestion managériale par la mise en place de réunions hebdomadaires du collège de direction ;
    • la mise en œuvre de procédures pour la gestion quotidienne ;
    • une meilleure circulation de l’information (élément auquel les enseignants étaient très sensibles) ;
    • la redéfinition de l’organisation générale de la haute école et la centralisation des dossiers des membres du personnel, afin de pallier le manque de structures administratives ;
    • la mise en ligne sur le site du campus numérique du procès-verbal des réunions du conseil d’administration, afin de remédier à la mauvaise information du personnel, sans toutefois rentrer dans les détails, car certains points méritent le huis clos. Cependant, tout ce qui peut avoir des effets sur l’organisation et les relations de travail tant du personnel professoral que de l’équipe administrative et technique doit faire l’objet de transparence ;
    • la clarification des statuts et des contrats multiples. Il s’agit d’un travail de titan, mais mes services s’y sont attelés.
    • le déploiement d’une connexion wifi performante, grâce à la célérité de ma collègue Bianca Debaets qui en a fait la priorité de ses équipes. Aujourd’hui, la haute école en est pourvue sur tout son site ;
    • l’identification par le collège de direction du matériel à acheter. La réserve budgétaire de la haute école permettrait d’améliorer le quotidien des enseignants et des étudiants par l’achat de matériel (photocopieuse, etc.). Nous avons demandé au collège de direction de dresser l’inventaire de ce qui pourrait améliorer le quotidien de l’ensemble des personnes qui fréquentent le site ;
    • une meilleure rationalisation des locaux et des laboratoires ainsi que du matériel.

    Nous essayons donc d’apporter des réponses au problème, mais cette situation de conflit existe depuis tellement longtemps qu’il a d’abord fallu rétablir le dialogue. Vous aurez compris que nous mettons tout en œuvre pour améliorer la situation à court, moyen et long termes. Tout cela prend du temps, sans compter les procédures à respecter.

    Aujourd’hui, j’en appelle à la sérénité de chacun pour construire ensemble ce projet et garantir à la haute école un fonctionnement optimal. C’est très important pour la Cocof.

    10 juillet 2015 / André du Bus / 1

    Catégories : Education, Enseignement, Parlement francophone bruxellois

    Étiquettes : bien-être, Travail

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    Une réflexion au sujet de « Situation à la Haute école Lucia de Brouckère »

    • Enseignant dit :
      28 décembre 2017 à 9 h 35 min

      Bonjour
      Aujourd’hui un collège de direction écarté, pas de collège de remplacement, aucune information…

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